L'Organisation mondiale du commerce a confirmé hier en appel la première condamnation de la Chine depuis son adhésion à l'organisation en 2001, concernant son régime d'importation de pièces détachées automobiles, jugé discriminatoire. L'organe d'appel de l'OMC a donné une nouvelle fois raison aux Etats-Unis, à l'Union européenne et au Canada et appelé Pékin à se mettre en conformité avec les règles du commerce international. Le système instauré par les autorités chinoises prévoit que les pièces auto importées représentant plus de 60 % de la valeur d'une voiture assemblée en Chine soient taxées à la même hauteur que les véhicules complets.
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