La Chine, où le numéro un (ERREUR!) nord-coréen a entamé, hier, une longue visite, s'est dite inquiète face aux incertitudes croissantes dans la péninsule coréenne, à deux semaines du lancement prévu par Pyongyang d'un « satellite ». « Actuellement, la situation dans la péninsule coréenne est plutôt compliquée avec un nombre croissant d'incertitudes », a déclaré à la presse le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Qin Gang, reflétant la marge de manoeuvre limitée de Pékin sur son ombrageux allié nord-coréen. « Nous sommes inquiets à ce sujet », a-t-il ajouté, appelant toutes les parties au dialogue, au premier jour de la visite en Chine du dirigeant nord-coréen Kim Yong-il. Ce dernier doit rencontrer le président Hu Jintao et le Premier ministre Wen Jiabao après avoir fait un détour par la province du Shandong (est) et la ville natale de Confucius.
PHOTO - Le premier ministre (et non le "numéro un") nord-coréen, Kim Yong-Il, visite le temple de Confucius, Qufu / REUTERS
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