La construction des réacteurs nucléaires de troisième génération accumule les difficultés sur les deux premiers chantiers, en France et en Finlande. Mais celui de Taishan, en Chine, avance bien. Avec une mise en service prévue en 2013, il pourrait être le premier EPR au monde à fonctionner. Il deviendrait la vitrine d'une technologie dont Areva veut redorer le blason. Anne Lauvergeon, patronne du groupe nucléaire, l'assure : le réacteur chinois ne dépassera pas 3 milliards d'euros et produira de l'électricité 16 % moins chère que celle de l'AP 1.000 de Westinghouse.
ARNAUD LE GAL
© 2010 Les Echos. Tous droits réservés.
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire