La Chine a décidé que les preuves obtenues illégalement, notamment sous la torture, ne seraient plus utilisées dans les cas de peine de mort et autres poursuites pénales. Ces nouvelles lois établissent que les preuves obtenues de manière obscure, les aveux soutirés par la torture, et les témoignages acquis par la violence n'étaient pas valides, en particulier dans les cas de peine capitale, selon des informations diffusées sur le site du gouvernement. C'est la première fois que la Chine décide explicitement de rendre les preuves obtenues par la torture ou la contrainte illégales et irrecevables devant la justice.
© 2010 © Rossel & Cie S.A. - LE SOIR Bruxelles, 2010
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